Aston Martin

No items found.

No items found.

Aston Martin DB2/4 - Mark III Drophead coupe

I’m interested in this car

Year:

Mileage:

Color:

Interior:

Gearbox:

Condition:

1957

La version Drophead coupe

Une nouvelle fois, Aston Martin a dérivé sa Mark III sous différente version. Ici sous sa forme avec toit escamotable. La Mark III Drophead coupe est disponible sous trois motorisations différentes : DBA, DBB, DBD, de 162 á 195 ch.

Le modèle DBA standard à double carburateur produisait 162 ch (121 kW), bien qu'un système d'échappement double en option ait porté cette puissance à 178 ch (133 kW). Ainsi équipée, la voiture pouvait atteindre 97 km/h (60 mi/h) en 9,3 secondes et atteindre 193 km/h (120 mi/h). Un moteur DBB optionnel à haut rendement avec trois carburateurs Weber 35 DCO 3 à double arbre à cames spéciales de longue durée, des pistons 8,6:1 à haute compression et un système d'échappement double de 195 ch (145 kW), plus rare (10 voitures ainsi équipées) que l'option DBD intermédiaire avec triple SU 1,75" et 180 ch (134 kW) également avec le double échappement, équipant 47 voitures.

votre prochaine voiture est ici

Retrouvez l'ensemble de nos voitures ici, ou contactez nous si vous vendez votre auto.

Articles

Briggs Cunningham : Un américain au Mans

Les 24hrs du Mans reste une des épreuves que tous pilotes où marques rêvent de gagner. Ce fut le cas pour Briggs Cunningham, pilote puis constructeur américain qui mit toutes ses forces afin de décrocher le St Graal : une victoire dans l’épreuve mancelle. S’il ne réussit pas à y parvenir, il laissa une trace indélébile de son passage dans l’épreuve mancelle.

GP de Monaco 1972: Beltoise, maître sous la pluie !

Parmi tous les pilotes français ayant participé au championnat du monde de Formule 1, Jean Pierre Beltoise a été un de ceux qui a permis au Sport Automobile français de retrouver le haut de l’affiche. Rares sont les pilotes qui se sont battus avec autant de courage et de persévèrance, et sa victoire au Grand Prix de Monaco 1972 a été ressentie par tous comme une forme de justice pour celui qui, ce jour là, domina de façon magistrale sous une pluie battante, toute la concurrence.

Peugeot 205 T16 : 1984, en route vers les sommets

1982 est une année charnière dans l’histoire des rallyes. La FIA ouvre aux voitures à transmission intégrale la possibilité de participer au championnat du monde des rallyes !Seule, Audi, la marque d’Ingolstadt, est prête à relever le défi avec ses coupés Quattro. Même si elle ne gagne pas le championnat du monde pilotes, elle remporte le titre constructeur et fait prendre conscience que l’avenir appartient aux 4 roues motrices. Peugeot, alors en difficulté, suite à son rachat de Chrysler Europe, décide de profiter du lancement de sa « petite » 205 pour relever le challenge et va développer celle qui va dominer le championnat du monde des rallyes, la 205 Turbo 16.