Convaincu que l'Aurelia n'était pas faite pour devenir un break, Gianni Lancia finit par répondre à certains concessionnaires de la maison et demande aux carrossiers de Viotti de créer des versions break de l'Aurelia. Elle fut présenté quelques temps après la présentation de la B10 sous le nom de "Giardinetta".
Cette voiture est montée sur le châssis B51 que Lancia fournit. Entre 1950 et 1952, une cinquantaine de Giardinetta ont été construits dont une bonne moitié a un revêtement en bois qui couvre la totalité des portes.
Cette voiture pouvait atteindre une vitesse maximale de 125 km/h.