Rares sont les constructeurs à avoir tenté l’expérience du moteur 16 cylindres en compétition. Pas fiable, trop lourd, trop gourmand, trop difficile à exploiter, beaucoup de bonnes raisons pour ne pas persévérer. Pourtant, une marque ira jusqu’au bout de la démarche avec de brillants résultats à la clef : Auto Union.

Rare sont les pilotes pouvant se targuer d’avoir gagné une manche du championnat du monde de Formule 1 sur une voiture portant son propre nom. Bruce McLaren est de ceux là. D’abord brillant pilote au volant de Cooper, il créa son écurie puis, élabora ses propres voitures qu’il engagea avec succès en championnat. Sa fin prématurée n’empêcha pas la marque de subsister et de se forger un des plus beaux palmarès du monde de la F1. Focus sur une courte mais brillante carrière.

Il existe un peu partout, en France et dans le monde, des circuits qui ont connu leurs heures de gloire il y a maintenant plusieurs dizaines d’années et qui, petit à petit, ont sombré dans un anonymat quasi total. C’est un peu le cas du circuit champenois de Reims-Gueux qui a abrité, dans l’entre deux-guerres et jusqu’à la fin des années 60, de grandes épreuves comme le Grand Prix de la Marne, les 12hrs de Reims et même, le GP de France de Formule 1. Petit retour sur l’histoire d’un circuit peut-être pas aussi oublié que ça.